Veilleuse

5 500,00 €

Marie Bette

Sea lion foot, 2016
Céramique, peinture acrylique, pigment phosphorescent

98 x 60 x 72 cm
Pièce unique

Lauréate du prix du journal Le Temps (prix New Heads – Fondation BNP Paribas Art Awards 2108) et du prix HEAD Galerie Mezzanin, Marie Bette, jeune artiste franco-suisse (née en 1988) travaille la matière – de l'argile à la pâte à papier – dans des pièces qui prennent parfois la forme de fours construits à même le sol qu'elle façonne et cuit elle-même. De son travail, se dégage un amour pour les choses et les gestes qu'elles convient, associés dans leurs fabrication et leurs usages.“Les choses nous disent quoi faire avec elles. Elles ne sont pas vivantes, elles ne parlent pas mais elles nous invitent à un certain type d’interactions. L’invite de quelque chose ne change pas, c’est physique. On la perçoit ou on ne la perçoit pas mais elle est inhérente à l’objet — logique écologique. Comme les choses, les pièces peuvent avoir plusieurs titres. Soumises à l’influence de forces élémentales – dilatation, aplatissement, cuisson, pression — elles s’adaptent, quitte à fusionner en abandonnant un membre pour des questions d’économie”.

Sea lion foot est d'un certain point de vue un pied à l'orteil exagérément gros, d'un autre une otarie. Son intérieur enduit de pigments phosphorescents se charge quand il fait jour et luit dans la pénombre quand la lumière s'éteint. 


PRIX TTC

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Marie Bette

Sea lion foot, 2016
Céramique, peinture acrylique, pigment phosphorescent

98 x 60 x 72 cm
Pièce unique

Lauréate du prix du journal Le Temps (prix New Heads – Fondation BNP Paribas Art Awards 2108) et du prix HEAD Galerie Mezzanin, Marie Bette, jeune artiste franco-suisse (née en 1988) travaille la matière – de l'argile à la pâte à papier – dans des pièces qui prennent parfois la forme de fours construits à même le sol qu'elle façonne et cuit elle-même. De son travail, se dégage un amour pour les choses et les gestes qu'elles convient, associés dans leurs fabrication et leurs usages.“Les choses nous disent quoi faire avec elles. Elles ne sont pas vivantes, elles ne parlent pas mais elles nous invitent à un certain type d’interactions. L’invite de quelque chose ne change pas, c’est physique. On la perçoit ou on ne la perçoit pas mais elle est inhérente à l’objet — logique écologique. Comme les choses, les pièces peuvent avoir plusieurs titres. Soumises à l’influence de forces élémentales – dilatation, aplatissement, cuisson, pression — elles s’adaptent, quitte à fusionner en abandonnant un membre pour des questions d’économie”.

Sea lion foot est d'un certain point de vue un pied à l'orteil exagérément gros, d'un autre une otarie. Son intérieur enduit de pigments phosphorescents se charge quand il fait jour et luit dans la pénombre quand la lumière s'éteint. 


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Marie Bette

Sea lion foot, 2016
Céramique, peinture acrylique, pigment phosphorescent

98 x 60 x 72 cm
Pièce unique

Lauréate du prix du journal Le Temps (prix New Heads – Fondation BNP Paribas Art Awards 2108) et du prix HEAD Galerie Mezzanin, Marie Bette, jeune artiste franco-suisse (née en 1988) travaille la matière – de l'argile à la pâte à papier – dans des pièces qui prennent parfois la forme de fours construits à même le sol qu'elle façonne et cuit elle-même. De son travail, se dégage un amour pour les choses et les gestes qu'elles convient, associés dans leurs fabrication et leurs usages.“Les choses nous disent quoi faire avec elles. Elles ne sont pas vivantes, elles ne parlent pas mais elles nous invitent à un certain type d’interactions. L’invite de quelque chose ne change pas, c’est physique. On la perçoit ou on ne la perçoit pas mais elle est inhérente à l’objet — logique écologique. Comme les choses, les pièces peuvent avoir plusieurs titres. Soumises à l’influence de forces élémentales – dilatation, aplatissement, cuisson, pression — elles s’adaptent, quitte à fusionner en abandonnant un membre pour des questions d’économie”.

Sea lion foot est d'un certain point de vue un pied à l'orteil exagérément gros, d'un autre une otarie. Son intérieur enduit de pigments phosphorescents se charge quand il fait jour et luit dans la pénombre quand la lumière s'éteint. 


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